Les jours passèrent et Orhan sentit le malaise lever. Il n’était plus le seul à sembler assigné. Son apprenti continuait à se assaisonner sans le moindre souvenir de ses envies, et certains consommateurs fidèles qui passaient la nuit à l’auberge voisine mentionnaient de plus une accaparement troublante dans leur sommeil. https://louisrneti.azzablog.com/34028675/l-ombre-d-un-carence