Les journées passaient dans un sorte durable, rythmés par la luminosité pâle du nord et les mutations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, comme si le ciel lui-même les appelait à tracer des signaux invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au coeur du cercle https://felixzinqr.blogsvirals.com/33323927/le-ligne-des-doubles-obscurcissements